Chant de colibri
Il ne nous reste plus, pour l’instant, qu’à pousser nos petits chants de colibris dans notre entourage immédiat.
Actions de voisinage, actions de convivialité, de partage et, surtout, de réflexion. Faire de notre mieux, ici et maintenant, avec notre proximité, et nous efforcer de relayer le plus possible les initiatives porteuses, c’est-à-dire reproductibles et généralisables que nous côtoyons.
Le long terme importe plus que jamais. Un long terme qu’aucun parti ne questionne.
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La lente montée assurée du FN, le terrorisme et les peurs immédiates qu’il engendre, la terrible crise écologique très insuffisamment prise en charge à l’échelle mondiale, nous ont conduits à la désastreuse situation nationale (et internationale) que nous connaissons. A la trappe messieurs et mesdames les décideurs !
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La fin d’une époque est signée par la disparition suicidaire du PS qui se retire des régions et son incitation à choisir entre la peste et le choléra (Chronique d’une mort annoncée).
La malfaisance de ce parti tient essentiellement à son absence de pensée, à sa soumission délibérée à l’ordre établi, à son suivisme électoral, à la somme de ses mensonges.
Guy Mollet dans les années 50, François Hollande aujourd’hui, deux lamentables sabres de bois, fort dangereux néanmoins.
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Se rencontrer, agir à son échelle personnelle, s’informer, faire savoir, résister. Plus que jamais.
Oui Léo, Les temps sont difficiles.